Le complot (le cœur a ses raisons, que la raison connait….)
Ecrit par : Free Thinker
Cœur tu m’as souvent trompé, j’ai tout su, tu as tenu tant a elle sans prendre
ma permission et tu m’as fais croire qu’il n y a probablement pas de raisons. En
secret tu complotes avec le reste de mon corps, vous acceptez certains et vous rejetez
d’autre pensant que vous n’avez jamais tort. « tu ne comprendrais
pas ! » m’as tu dis souvent. Tu t’es déclaré insensé après l’avoir
entendu quelque part et tu l’as répété comme un slogan, et la dernière parole reste la tienne.
Tu m’as dis que l’amour c’est des sentiments, et les sentiments n’ont pas de
raison derrière, mais vous avez rejeté cette femme car elle est pauvre et l’autre pour sa laideur, une pour sa démarche une autre pour sa poitrine aplatit et ses fesses moins
arrondis. A chaque fois que je vous demande la raison vous essayez de la gardez
en secret pour protéger mon bien être vénéré sauf si la raison est approuvée pour
me la divulguez.
Je comprends aujourd’hui ce qui vous attire et ce qui vous arrache, j’ai vu
tout votre tas de papiers et comment vous opérez, combien vous êtes simple dans
votre petite demeure, que l’amour comme vous l’appelez est une simple équation pour vous comme pour
vos semblables, j’ai vu ces inconnus que vous avez tant cachés de moi et je
comprends pourquoi vous avez réagi ainsi. Pour que je ne me vois pas mal,
superficiel et vide. Pour que je ne me sens pas semblable à des gens que j’ai
tant critiqués et méprisé. De qui je donnais l’exemple pour me distinguer. Mais
je préfère mettre ce miroir bien en face que vivre dans une illusion.
Vous voulez toujours me faire croire que je suis différent, incomparable, confiant
et raisonnable. Vous êtes une entité grise logée au fond qu’on appelle mon inconscience,
la ou vous jugez et classifiez les gens dans un temps de rien, selon ce qu’on
vous a chuchoté par des connaissances et ma télé. Je sais ce que vous avez
pendant longtemps pensé de moi jusqu'à ce que je vous ai prouvé le contraire,
le nullard m’appeliez vous ! Oh mon cœur d’artichaut et cerveau soumis, rappelez-vous
de m’avoir convaincu qu’une personne n’est pas la bonne pour des raisons que
vous avez gardées pour vous-même, la vérité c’est que vous pensiez tellement
que je suis un bon a rien, que toute personne m’appréciant serait pareille.
Vous m’avez jeté dans une confusion totale, incapable de me comprendre et de
savoir tous mes caprices, incapable de m’identifier car tantôt je penche vers
un choix et tantôt je penche vers le contraire. J’ai bien souffert à cause de
vos mensonges, toi précisément qui refusait de saigner et de m’accepter comme
je suis, un homme loin d’être parfait.
Seul le temps et ses
expériences pourront me changer pour le meilleur ou pour le pire. Seul le temps
pourra modifier votre petite chambre
mais ne me chantez plus vos louanges, ne me dites plus ce que je veux entendre
et ne me faites pas croire que vous avez une raison que celle-ci ignore. Ce que
vous appelez amour n’est jamais un mais que des attirances a différent degrés,
il n y a qu’un seul amour, il est inconditionnel.